La Reine des Neiges

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En décembre dernier, je suis allée voir la Reine des Neiges au ciné. Il n’y avait qu’une dizaine de personnes dans la salle, et pas une n’avait moins de vingt-cinq ans. Depuis, il ne passe pas un jour sans que la BO tourne, que ce soit en voiture ou à la maison

En décembre, donc, j’ai eu un gros coup de cœur pour ce dessin animé, et en particulier pour Elsa. Les poupées à son effigie fleurissaient dans les magasins de jouets, et à chaque fois, je bavais devant, en me disant « la prochaine fois, je la prends ». Seulement voilà, la fois d’après, il n’y en avait plus. Plus une seule. Nulle part. Et c’est comme ça depuis plus d’un mois et demi.

J’adore Elsa, mais je ne suis pas encore prête à débourser 70€ pour la poupée que je convoite. (Et oui, ça me débecte de voir un objet vendu au départ 20€ se retrouver sur les sites d’enchères au prix d’un œil juste parce qu’il y a des gens qui le cherchent depuis des lustres. Je sais, je sais, « l’offre et la demande ».)

Une lueur d’espoir inattendue est venue égayer ma journée, j’attends l’appel d’un magasin de jouets pour me confirmer ma réservation internet. Je sens bien qu’ils vont me dire qu’ils n’ont plus que Kristoff… *croise les doigts pour qu’ils aient encore Elsa*

Enfin voilà. Je termine ce sujet avec le clip de « Libérée, Délivrée », magistralement interprétée par Anaïs Delva (que j’avais adoré en Lucy dans le spectacle Dracula) :

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